Ce sont les mots qui existent.
Ce qui n'a pas de nom n'existe pas.
Alors, comment appelle-t-on le mal d'exister et la nostalgie de ne pas exister ?
Comment choisir le nom de cette ineffable et tendre douleur d'exister ?
Cafard de printemps.
Doute.
Chemin.
Vers les mots.
En train de les deshabiller de leur ombre.
Pour ?
Entrer.
Dans un autre chemin.
Une autre vie.
Et devenir tout simplement lumiere.
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