Sables blancs et pluie...
Lumière tamisée...
Le vent, le feu, la vie,
clin d'oeil de la mer épuisée...
Prélude, arabesque, danse,
fleurs des dunes,
fleurs d'écume,
Les dents serrés, le gout amer
des mots arrachés, de sel...
L'inévitable paradoxe
de l'aile et de la griffe,
mon esprit qui se rebiffe,
le ridicule qui tue
mon âme mis a nu.
Sur le seuil,
dans un sablier imparfait,
entre silences bavardes et le goût du café
je fais
mon petit deuil...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire